Valence Ton Slam, c’était bien, c’était doux

On est là… 🙂
 
Valence Ton Slam, c’était bien, c’était doux.
Na som jita à Jean-pierre Puyal et à toute l’équipe de bénévoles qui ont rendu possible cette rencontre du Tout-Monde dans un village du Gers.
Na som jita aux artistes en présence, pour les mots offerts aux jours qui se rêvent.
Na som jita à Gasandji et à Calvin Yug, sœur et frère d’âme vagabonde, pour nos rires et notre joie inaliénable, sur scène et sur toutes les routes du monde, le feu.
Na som jita au public, pour le partage de ce que nous sommes au fond.
Des êtres humains.
De plein vent.
 
Et maintenant, Rabat et son salon du livre, l’Afrique vue du SIEL.
 
Heureux de retrouver mon fils Ange, pour le début de notre tournée, « Nobles de cœur » au Maroc, en compagnie des tontons Fred Ebami, Calvin et Christophe Isselee.
Na som jita à l’institut Français et au Ministère de la culture du Maroc, pour la belle invitation à chanter.
Encore et toujours, les possibles.
En nous.
 
One Love !!!
 

Dans Le Monde

On est là…
 
Dans Le Monde et les mots de la journaliste Kidi Bebey qui fait la part belle à « Nobles de cœur » (Éditions Calmann-Lévy), livre de la semaine.
 
Na som jita pour la justesse de son article, qui dit tant, de Yaguine et Fodé, de Fred Ebami et moi, et des raisons essentielles à nos yeux de ce premier roman graphique ensemble, acte d’art, de liberté, de dignité, de mémoire et d’espoir.
 
One Love !!!
 

Sometimes I feel like

Sometimes I feel like
 
A blue bird singing in the sea
 
Sometimes I feel like
 
A blue bird swimming in the sky
 
Sometimes I feel like
 
A … drôle d’oiseau épris de poésie
 
Et pris dans tous les vents du monde.
 
MAOB
 
Las Palmas, Gran Canaria, jour 4, j’écris.
 
Slame et photographie.
 
La vie.
 
One Love !!!
 

Feria del Libro, Las Palmas, Gran Canaria

On est là… 🙂
 
Feria del Libro, Las Palmas, Gran Canaria.
Au soleil des poèmes et de la rencontre, humaine profondément.
Pedro Suàrez Martin m’a contacté quelques mois après la sortie de mon roman « Les lumières d’Oujda » (éditions Calmann-Lévy) pour me dire à quel point il avait été ému, bouleversé par mon texte, et à quel point il lui semblait nécessaire de le traduire et le faire circuler aux Îles Canaries, pour essayer de changer certains regards sur les réfugiés, femmes, hommes et enfants qui marchent, en quête d’une vie meilleure. Pedro Suàrez Martin et moi avons correspondu pendant un an et demi ensemble, sans jamais nous rencontrer, ni même nous parler de vive voix, seul le fil des mots nous tenait, à l’endroit du cœur à l’ouvrage.
Pedro Suàrez Martin a traduit mon livre avec le cœur et la raison, et je le remercie ici encore, vivement, pour le temps passé entre les pages de « Las luces de Ujda » (éditions Baile del Sol), pour sa délicatesse lors de nos échanges épistolaires, souvent un mot pour mes enfants, toujours le souci d’être juste, au plus près de ma pensée poétique et du sens de mes mots, en français, en duala, en camfranglais ou en pidgin que l’on parle au Cameroun.
Pedro Suàrez Martin et moi ne nous étions jamais rencontrés, c’est chose fête depuis ce week-end, grâce à Casa Africa et à la Feria del Libro, et ce grand monsieur, aîné bienveillant comme j’aime à appeler les anciens qui portent la jeunesse éternelle de leurs idéaux et de leurs espoirs sur leurs visages, m’a ému, bouleversé par son être au monde et sa présentation de mon travail d’artisan lors de notre cœurversation littéraire à la Biblioteca Publica.
Na som jita à Pedro Suàrez Martin, pour son engagement, sa tendresse pour Sita, Mélodie, Ibra, Youssef Sabai Jai, La folle, Imane et Leila, le père Antoine, Aladji, mon narrateur sans nom, et tous les personnages des « Luces d’Oujda », et pour cette phrase étincelle, si forte, offerte dans un sourire de connivence entre un auteur et son traducteur, suite à une de mes questions, qui était : traduire est-il trahir ?
Réponse de Pedro: « traduire c’est assassiner »
C’est un honneur et un bonheur pour moi d’être traduit par Pedro Suàrez Martin, qui me fait renaître à moi-même, dans une autre langue que les miennes, mais avec le même souffle et le même cœur. Gratitude.
 
Na som jita à chacune, à chacun, à toutes et à tous, Andreea mon interprète, Estefania et Andie, Yeison Garcia jeune poète Afro Colombien, Loïc, Mamadou, Khaly Thioune, Laura, Pedro, pour tous nos partages, l’accueil chaleureux et le futur que nous inventerons.
Ensemble.
 
Capitan Alejandro 🙂
 
One Love !!!
 

Las Plamas, Gran Canaria… Sur La Lune

On est là… 🙂
 
À la Feria del libro, de Las Palmas, Gran Canaria… Sur La Lune.
 
Je parlerai de « Las luces de Ujda » et je donnerai lecture d’extraits de mon roman et de quelques poèmes de l’âme, de la mer et de l’amour, écrits ici il y a quelques années.
 
Na som jita à mon éditeur espagnol Baile del Sol, à l’association Casa Africa et à l’équipe d’organisation du Festival, pour l’invitation chaleureuse et le merveilleux accueil, c’est doux d’être de retour sur l’île.
Et bravo à Benz et à sa team hier, Ala Madrid, merci pour la ferveur hier soir ici, même si je suis toujours pour Liverpool et Mané, vivre cette finale en terre Espagnole, c’était quelque chose deh !
 
One Love !!!
 

Merci au festival Aux Quatre coins du Mot

Nous sommes
Des ingouvernables
Porteurs de poèmes
Et de rêves fragiles
Na som jita à Sandrine Constant, Gasandji, Lætitia Klotz, Calvin Yug, Christophe Isselee, Fred Ebami et Albert Morisseau Leroy pour le Poetrip et la douceur des heures ensemble.
 
La vie est un présent, à s’offrir chaque jour.
Merci au festival Aux Quatre coins du Mot, pour l’invitation et le merveilleux accueil, merci au public de La Charité-Sur-La Lune pour le partage de la joie et les pas de danse, les refrains dans la langue du cœur qui déborde et les rires qui repoussent la nuit.
 
And now, direction les îles Canaries, Las Palmas et sa Feria del libro, pour parler de mon roman Las luces de Ujda, revoir les ami(e)s de Gran Canaria, jouer au golf et chanter encore et toujours, les possibles en nous.
 
One Love !!!
 

De vive voix sur Rfi

On est là… 🙂
 
Aux Quatre coins du Mot, et sur les ondes de RFI, au micro de Pascal Paradou.
On parle des mots évidemment, de littérature, de poésie, de musique, d’écriture et d’édition, entre autres sujets, avec Valentine Bonomo et Jérôme Rouger.
 
One Love !!!
 

À la Charité… Sur La Lune

On est là… 🙂
 
À la Charité… Sur La Lune.
Aux Quatre coins du Mot.
Et ce soir c’est : Carnaval et Expoésie…
Vernissage Expoésie ( by Albert Morisseau Leroy et Fred Ebami)
 
Et
 
Carnaval (en merveilleuse compagnie de Gasandji, Calvin Yug, Christophe Isselee, et Lætitia Klotz)
On A Slamé Sur La Lune est dans la place, et ça va être beau.
 
Na som jita à la prési Sandrine Constant, que nous fêtons, pour l’organisation des rêves, et à la Cité du Mot pour l’invitation chaleureuse.
 
One Love !!!
 

10 jours en mai à Montpellier

On est là… 🙂
 
X Y Zèbre
Place de la Comédie
10 jours en mai
Fais ce qu’il te plaît
 
Montpellier était doux deh 🙂
 
Na som jita à Régis Penalva et à son équipe, pour l’invitation et l’accueil, au public pour les retours de lecture de « Nobles de cœur » (éditions Calmann-Lévy).
Fred Ebami et moi avons commis cet ouvrage aussi, pour nous souvenir.
De l’avenir.
 
Na som jita à Sami Tchak, à Mohamed Mbougar Sarr et à Julien Delmaire pour le moment de livre- ensemble, et la joie offerte de porter les mots de Julien dans ma voix, Julien dont il faut lire le mirifique « Delta Blues », comme il faut lire de Sami « Le continent du tout ou du presque rien », roman qui pense dans une langue puissante et profonde.
 
Next stop, La Charité.
Cité du Mot, festival.
Avec On A Slamé Sur La Lune.
Demain sera.
Carnaval.
 
One Love !!!!